jeudi 29 mars 2012

Le non-sens des mots

          Si vous saviez ce qu'est vraiment une démocratie, vous ne voteriez plus, vous ne participeriez plus parce que vous auriez compris que tout ce qui découle de ce régime importer d'Amérique (le tout premier dirigeant à avoir été élu par la voie de l'élection fut George Washington en 1789) n'est qu'une vaste farce tout comme l'exportation abusive de ce système politique biaisé dès son origine, à travers le monde depuis plus de deux siècles où il faille faire la guerre pour apporter la ''paix'', un comble admis par tous, mais jamais remis en cause. Un procédé étatique où vous, le peuple n'avait jamais eu le pouvoir en aucune circonstance où votre seul pouvoir n'aura jamais été que la délégation de tous vos pouvoirs à nous, la perfide et risible élite qui allons nous empresser de programmer, d'instituer votre impuissance, un dogme sans cesse rabâché et psalmodié de génération en génération. Vous comprendriez mieux notre effort à mondialiser la démocratie, notre farouche volonté à globaliser un régime engendreur d'inégalité qui a montré ses limites et ses griffes dès le berceau. 


Aussi... la différence réelle qui sépare entre elles démocraties et oligarchies, c'est la pauvreté et la richesse ; et nécessairement, un régime où les dirigeants, qu'ils soient minoritaires ou majoritaires, exercent le pouvoir grâce à leur richesse est une oligarchie, et celui où les pauvres gouvernent, une démocratie, Aristote.
 

          Le mot ''démocratie'' plus précisément sa véritable appellation gouvernement ''prétendument'' représentative, prétendument car il ne se veut même pas représentative, à aucun moment, une authentique imposture. Le gouvernement ''prétendument'' représentative, ce groupe de mot qui a tous les attributs de Janus, cette divinité romaine aux deux visages, dont le sens originel a été perverti dès le début par une conjuration d'élite auto-proclamée et auto-proclamante.
Cet assemblage de mot ou plutôt ce bricolage de mot a pour but inavoué de tromper le monde. Tous ces mots mensongers, nous les nommons, Janus ! car ils ont un double sens, un sens connu et admis de tous, (démos-cratos) celui du pouvoir aux peuples. Son autre sens qui est caché, mais compris et utilisé par une infime et infâme partie de la population mondiale (nous autres, élites mondialistes financières et politiques) est ''oligarchie'' à savoir le pouvoir, le commandement d'un petit nombre. Cette institution odieuse en voie de mondialisation pousse à la corruption et à l'égoïsme, car qu'est-ce qui est fourni et va de pair avec la ''représentation'' c'est l'indivi(dual)isme, c'est un pack complet non un contrat entre nous et vous, le peuple. Pour que vous, citoyen, vous puissiez vous préoccuper de votre petite personne et que vous puissiez approfondir la culture du ''tout et du tout de suite'', vous vous devez de déléguer, toutes les questions politiques, économiques et sociales à nous, cette élite saltimBanque. Cette structure scélérate qui a infantilisé le citoyen au point qu'il ne fasse plus de politique et l'a relayé au rang de citoyen passif. 
Nos chers élites dégénérées et leurs larbins d'intellects faussaires (Juppé, Fillon, Sarkozy, Le Pen, Hollande, Cameron, Obama, DSK, BHL, NKM, WC....) ont lu : Socrate, Platon, Aristote, Rousseau, Montesquieu, Hugo, Voltaire....tous les érudits et écrivains qui ont marqué votre histoire, votre pensée et qui ont écrit sur l'Oligarchie et la Démocratie. Ils savent très bien qu'elles sont les différences entre ces deux systèmes. Ils savent que vous n'êtes pas et ne serez jamais en démocratie.


Aristote écrivait déjà au 4e siècle av. J. C (dans son ouvrage Politique, III) ''le raisonnement rend donc évident, semble-t-il, que la souveraineté d'une minorité ou d'une majorité n'est qu'un accident, propre soit aux oligarchies (ce terme n'est pas nouveau, il a 2500 ans) soit aux démocraties, dû au fait que partout les riches sont en minorité et les pauvres en majorité. Aussi... la différence réelle qui sépare entre elles démocraties et oligarchies, c'est la pauvreté et la richesse ; et nécessairement, un régime où les dirigeants, qu'ils soient minoritaires ou majoritaires, exercent le pouvoir grâce à leur richesse est une oligarchie, et celui où les pauvres gouvernent, une démocratie'' 
ou encore ''La sélection par tirage au sort et la rétribution accordée pour la tenue d'une charge étaient les chevilles ouvrières du système. Les élections sont aristocratiques et non démocratiques : elles introduisent un élément de choix délibéré, de sélection des meilleurs citoyens, les ''aristoi'', au lieu du gouvernement par le peuple tout entier.''

Nous tenons à préciser qu'Aristote était un oligarque qui détestait la démocratie. Malgré cela, il en parlait objectivement et lui reconnaissait des qualités contrairement à Platon qui en disait beaucoup de mal et pour cause il aurait dû être l'empereur de la cité d'Athènes si seulement à son époque la cité n'avait pas été frappé de la démocratie. Qu'est-ce donc que ce régime politique, même révolutionnaire, qui donne le pouvoir au pauvre. Platon  fut délesté du pouvoir et en voulu beaucoup à la démocratie. En effet, pendant deux siècles les pauvres étaient au pouvoir et les gens comme lui étaient systématiquement écartés de la vie politique et donc du pouvoir.
Depuis cet accident historique dans l'histoire des hommes nous avons beaucoup appris et médité. Nous avons eu plusieurs siècles de réflexion pour savoir comment berner tous les peuples de la Terre, cela a commencé avec le peuple américain, il y a plus de deux siècles, nous nous en rappelons comme si c'était hier quel beau souvenir. 


Quand les hommes ne peuvent (veulent) changer les choses, ils changent les mots, Jean Jaurès.


Nous avons de manière outrageusement enfantine pris la définition du mot oligarchie et nous l'avons ensuite glissée sous celle de la démocratie avec l'aval des académiciens et encyclopédistes des Fausses-Lumières qu'il faut, d'ailleurs, remercier pour leurs efforts, leurs luttes à désoeuvrer pour l'humanité sans qui nous aurions jamais réussi cette prouesse, ce démiurge que disons-nous. Une des finalités consiste à formuler et propager le mensonge universel qu'est la démocratie moderne. Ce mensonge a été inoculé à vos ancêtres par l'intermédiaire de notre système de relais par excellence ; l’Éducation Nationale Républicaine Laïque Athée, copieusement et jalousement appelé entre nous, Ecole Franc-maçonne, le lieu d'inversion des valeurs morales spirituelles et religieuse pour vous conduire à un monde où l'humain, l'homme est un être égoïste, individualiste, en compétition constante et en concurrence sauvage sur l'autel des marchés. Ce poison continue d'être injecté de génération en génération. Un poison qui est relayé, entretenu, alimenté par notre instrument phare : propagateur et mensongeur perpétuel ; la télévision ou l'art et la manière de téléguidé une vision du monde, de l'homme et de la vie. 
Depuis des siècles, nous nous sommes dotés d'un arsenal de mot Janus pour tromper les peuples. Nous vous tenons par les mots, à défaut de vous tenir par autres choses. D'ailleurs c'est pour cela que notre passe-temps favori est d'acheter la presse d'information, peu importe la forme du média, nous la possédons. En faisant cela nous achetons la lettre, la phrase, l'idée ; les mots tout simplement pour les transformer en maux contre vous, le peuple. 


C'est l'indifférence et l'ignorance des électeurs qui ont pu conduire aux démocraties occidentales, Moses I. Finley. 

Janus le dieu à deux faces
Janus la divinité romaine : Celui qui sait. Il préside à tout ce qui commence. Janus est le dieu des portes. Il est représenté avec deux visages parce que chaque porte ouvre sur deux possibilités. Deux visages ; l'un tourné vers le passé et l'autre tourné vers le futur. Il regarde devant lui, derrière, à l'intérieur, à l'extérieur, à droite, à gauche, en haut et en bas. Il connaît le pour et le contre. C'est la clairvoyance absolue. Tous ces mots tricheurs, menteurs, trompeurs qui sont porteurs de duplicité. Ils évoquent et imposent la dualité où les esprits se retrouvent constamment tiraillés et ils font bien plus de dégât que n'importe quelle bombe. 
Des mots comme universel (commun à tous/quelques privilégiés), évolution (amélioration/régression), révolution (populaire/bourgeoise), progrès (avancée/recul), croissance (infini/ressource limité), conjoncturelle (imprévus/structurelle), crise (accident/artificiel), équilibre (stabilité/austérité), bon du trésor (richesse/dette), paix (bonheur/guerre), démocratie (pouvoir au peuple/pouvoir d'un petit nombre), président (démocrate/oligarque), humanitaire (dévouement, le secour/l'ingérence humanitaire de B.Kouchner)....etc. Autant d'arme pour vous détruire et vous faire admettre l'impensable, vous résigner.
Ces mots Janus, aux langues bien fourchue, quand on les combine, ils deviennent dévastateurs ; un exemple précis avec une citation d'un de nos chers politiques adeptes de la novlangue orwellienne. Selon Xavier Bertrand en parlant de la crise de la dette souveraine, ''ce n'est qu'une crise conjoncturelle que nous avons dépassée''.
Une crise conjoncturelle donc, qu'est-ce que ces deux mots peuvent bien signifier, de prime abord pour une personne non-avertie, non-consciente, elle comprendra qu'on a affaire à un malheureux concours de circonstance, un accident survenu inopinément, un incident imprévus...etc. Un détournement des mots, car c'est de ça dont-il est question, bien pratique pour nos bienveillants élus. Une compréhension truquée et tronquée qui les dédouane totalement et les dégage de toute responsabilité. Bref, c'est la faute à pas de chance, il faut blâmer l'épouvantail, le fantôme, Crise. Avec l'ère de l'industrialisation et de grands capitaux, nous vivons une gouvernance de la crise, par la crise et pour la crise. Nous sommes dans l'ère de la crise et par extension de la dette (c'est une richesse dans notre monde où toutes les clés, les codes de compréhension sont inversés). Les lointaines générations à venir nous regarderont d'un œil sévère et acerbe. Elles nous qualifieront avec mépris et raison de civilisation de la dette. Elles diront du 20e et 21e siècle que c'était l'Age de la Dette et celle aussi du pétrole mais ça c'est une autre histoire. Voilà comment notre époque sera résumé en un seul mot, en une seule dette. C'est une bien déchirante réalité et un bien douloureux sentiment que nous laissons à nos enfants.
Pour une personne avertie, consciente, elle comprendra que ce n'est pas une crise quand une chose est programmée, planifiée, orchestrée, organisée ça ne peut-être accidentelle. Ça n'est pas non plus conjoncturelle, mais structurelle. C'est le système tout entier qu'il faut remettre en question, la crise c'est l’Économie Globalisée, Mondialisée. Ce système usurier, spéculatif et intéressé, générateur d'injustice et créateur de misère, je dirais seulement que cette finance n'est ni chrétienne, ni musulmane. L'emploi abusif de tel mot peut être aussi une forme volontaire de négation, un déni de la réalité, car, à crise conjoncturelle, la réaction doit l'être tout aussi. Elle doit-être improvisé et demandé une réponse dans le tas. Notamment en empilant les mesures d'austérité au rythme des crises conjoncturelles successives.
Le COE (Conseil d'orientation pour l'emploi), dans un rapport rendu public jeudi 1er décembre 2011, appelle à des « mesures conjoncturelles » pour lutter contre le chômage de longue durée.


          Là où je veux en venir est que la démocratie représentative de George Washington est l'un des nœuds du problème avec la finance Juif Khazar. Tant qu'on n'aura pas démêler ça rien ne changera! Et voici une citation fortement révélatrice de François Copé : ''Internet est l'ennemi de la démocratie'' on sait de quelle démocratie il parle ou du moins de quel sens.


          Il existe bien (mal) des mots Janus qui sévissent depuis des décennies. Et il ne faut pas avoir peur de les dénoncer.
Pour commencer, la Shoah (crime contre les Juifs/pas qu'eux) c'est un autre Janus qui est un symbole si ce n'est pas LE symbole de la négation et du déni. Les sionistes, ces non-juifs Khazars, ces chiens de garde qui crient à l'antisémitisme (mot Janus par excellence, j'y reviendrais un peu plus bas) dès que l'on touche à un juif et se cachent, systématiquement, derrière le Janus Shoah et se gardent bien, à chaque fois, de dire que les nazis s'en sont d'abord pris aux personnes âgées, aux handicapés et aux Tziganes, car ils étaient jugés inutile à la société, au Reich ! avant de s'en prendre aux juifs. Mais pour la (il)logique sioniste leur souffrance n'est pas comparable à celle des Juifs, NUL souffrance est comparable, d'ailleurs à celle des Juifs, au point de les occulter de l'Histoire et de la Shoah, c'est un point de détail comme dirait l'autre, ils ne comptent pas !
Et voici, mon préféré, Antisémitisme ou Antisémite que du bonheur ! encore une fois, nos amis, les sionistes Khazars non-juifs, font dans le négationnisme le plus totale et la plus absolue en occultant volontairement une large frange de la population, car que signifie ce mot, ''antisémite'' ! pour la plupart des personnes voir la majeure partie, il signifie anti-juif, acte contre les Juifs. On affuble toutes les personnes qui auraient eu un mauvais comportement ou même échanger de désagréables mots avec un juif. Ce simple mot, cette arme de destruction massive, cet outil de terrorisme intellectuel perpétuel qui met un terme à tout débat une fois employé est formé des mots ; anti- (contre) et -sémite (peuple sémitique), ce dernier vient de l'hébreu et de l'arabe ''sem'' qui signifie renommée et prospérité, ce mot englobe un groupe de langue orientale et désigne TOUTES les peuplades descendantes de Sem, le fils ainé de Noé. Les sionistes cachent au monde entier que les arabes font aussi partie des peuples sémitiques. Alors, pourquoi quand on critique un juif c'est de l'antisémitisme et quand on traite un arabe c'est du racisme ? Ils se sont appropriés le mot ''antisémite'' comme le mot Shoah et tant d'autre.


          Cette honteuse appropriation des mots en oubliant, en soustrayant que dis-je, un peuple tout entier est la forme ultime du négationnisme, car redéfinir le sens des mots c'est réécrire l'histoire. Voilà le but final inavoué et toujours inassouvi, Réécrire l'Histoire pour la conformer toujours plus à leur vision du monde et des Hommes. C'est l'histoire qui fabrique les Hommes de demain et les sionistes Khazar non-juifs veulent façonner les futurs générations en manipulant l'histoire, comme la création d'une race d'homme docile et à leur pied, après tout, qu'est-ce que l'histoire si ce n'est pas un assemblage de mot.

          D'après, l'historien grec helléniste Thucydide, ''L'histoire est un perpétuel recommencement'' c'est sans compter les dire de Napoléon Ier que ''L'histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord'' mais selon le poète italien du 18e-19e siècle, Filippo Pananti ''L'histoire est utile non pour y lire le passé, mais pour y lire l'avenir''. Partant de là, je me permets de faire une synthèse de toutes ces citations, ou du moins ce que j'en est compris ; L'histoire serait en fait, une succession de mensonges en perpétuel recommencement sur lesquels tout le monde s'accorde et qu'ils sont utiles non pour y lire le passé, mais pour y lire l'avenir autrement dit se prémunir des dangers à venir et avenir. C'est pourquoi, il est primordial de dénoncer les faiseurs de mot (maux) Janus en éduquant, en éveillant les gens, notre entourage à identifier tous ces mots mensongers et les aider à comprendre leurs sens cachés pour mieux se défendre et ne plus se faire avoir. Alain Soral : ''Plus le niveau de conscience est élevé moins on se fait avoir''.


          Un autre exemple de manipulation sur les mots avec le terme qui fait peur en ''iste'', ''Islamiste'' pour le Gentil, naturellement la première réflexion qui lui vient à l'esprit en entendant ce vilain mot, fanatique musulman ! fou de dieu ! alors qu'en réalité si on regarde ce mot de plus près, étymologiquement, on s'aperçoit qu'il désigne tous les musulmans, car qu'est-ce qu'un islamiste, si ce n'est rien qu'une personne qui pratique l'islam autrement dit un musulman tout comme un violoniste jouant du violon ou encore un automobiliste roulant une voiture.
Alors, pourquoi ce mot a une telle connotation négative dans le monde occidental ? Si ce n'est pas pour englober, généraliser la totalité des musulmans allant des plus modérés aux plus fanatiques. Quand on parle des fanatiques chrétiens ou juifs on ne dit surtout pas qu'ils sont christianistes, judaïstes, on dit qu'ils sont tout simplement extrémistes.


Voilà une des causes profondes de notre soumission, de notre résignation, de notre impuissance à nous soulever contre l'injustice des puissances auto-désignés, car pour le citoyen lambda, il est impensable d'être contre la démocratie tout comme on ne serait-être contre la paix. Ils nous ont volés les mots au point que l'on soit incapable de nous défendre. Je ne sais plus qui a écrit ces mots terriblement d'actualité : ''si le vocabulaire est pauvre la pensée l'est tout autant''. Je suis sûr d'une chose, les dérives allant toujours de mal en pis ; la manipulation des mots étant avéré, bien ancré dans l'inconscient des gens, la prochaine étape consisterais tout bonnement à se débarrasser des mots. Pourquoi s'embêter à manipuler des mots quand on peut les supprimer. D'ailleurs, on a une très belle illustration de l'emploi de terme Janus avec la Novlangue et les slogans de l'empire d'Océania dans le roman de George Orwell, 1984 :

Voici un extrait pris sur wikipédia de l'atmosphère obscure de1984.
Destruction de la langue et de la logique


En plus de l'anglais classique, langue officielle de l'Océania, l'Angsoc a créé une langue, le novlangue (newspeak en anglais). Cette langue est constituée principalement d'assemblages de mots et est soumise à une politique de réduction du vocabulaire. Le nombre de mots en novlangue diminue sans arrêt.
Au début du roman, un membre du Parti Extérieur révèle que la version finale du dictionnaire novlangue était en préparation afin d'éliminer tout autre mode de pensée et idée hérétique. De plus, les mots novlangues comportant peu de syllabes afin d'être prononcés plus rapidement, sont conçus pour être prononcés sans réflexion et afin d'anéantir l'affect et la connaissance intuitive des mots ainsi que de rendre impossible l’expression et la formulation de pensées subversives. Bien qu'il soit toujours possible de dire que les décisions du Parti sont mauvaises, il sera impossible d'argumenter sur cela. À l’époque où est censé se passer le roman, le novlangue constitue encore une nouveauté, qui coexiste tant bien que mal avec l’anglais classique. Le langage en est réduit à une fonction informative.
Le novlangue fait l’objet d’appauvrissements planifiés dont le but est d'hébéter le peuple pour mieux le contrôler.
En outre, le « sens logique » des assujettis au régime est lui-même altéré. En novlangue, par exemple, un même mot comme « canelangue » peut avoir un sens laudatif s’il est appliqué à un membre du parti ou péjoratif s’il est appliqué à un ennemi du Parti. Il devient donc impossible de l'utiliser pour dire du mal d'un membre du Parti. La population est abreuvée de slogans comme :
« La guerre, c'est la paix. »
« La liberté, c'est l’esclavage. »
« L'ignorance, c'est la force. »
Et voici un exemple factuel de dérive qui prouve et valide le faite qu'on se dirige bien vers un régime totalitaire orwellien. 

Aristote écrivait : ''C'est un malheur du temps que les fous guident les aveugles.'' Alors que Shakespeare disait : ''Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugle''. Je vous propose d'en faire également une synthèse pour conclure mes propos ; quelle malheureuse époque où des fous contrôlent des idiots dirigeant des aveugles.

3e éditions des Bobards d’Or – 20 mars 2012
regardez les 11 premières minutes qui sont pour moi les plus importantes et stupéfiantes.
Humble créature,

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