Les fausses rivalités entre faux partis de gouvernement, ainsi que les cure-dents que leur lancent les faux partis d’opposition, participent à la mise en scène de cette triste mascarade qu’est devenue la politique française.
L’agitation médiatique et politique se résume à cet adage populaire : une tempête dans un verre d’eau. Son impact sur le réel est nul. Elle n’a aucun intérêt.
Ce n’est pas un hasard si le moindre présentateur télé nous pousse à aller voter. Ce n’est pas un hasard non plus si les grands médias se mettent au branlebas de combat pour inciter le peuple à se rendre aux urnes : à tout prix, le Système veut légitimer sa reconduction.
- Voter, c’est alimenter une caste politique qui est payée par l’oligarchie pour soumettre et humilier le peuple français.
- Voter, c’est cautionner un système qui ne remet jamais en cause la mondialisation néolibérale et ne s’attaque jamais aux maux du peuple.
- Voter, c’est mettre au pouvoir des individus qui depuis plusieurs décennies ont révélé à chaque fois que l’occasion leur était donnée qu’ils étaient des félons.
- Voter, c’est maintenir sous perfusion une classe politique dont, de l’extrême gauche à l’extrême droite, il n’y a rien à attendre.
- Voter n’est pas synonyme de démocratie.
- Voter, c’est voter pour l’oligarchie.
Cher lecteur, entre nous, quitte à se faire trahir, autant ne pas donner son aval, ne croyez-vous pas ? Autant que le pouvoir mandaté pour nous faire souffrir ne le fasse pas avec notre accord. Autant que toute hypocrisie soit réduite à néant et que le prochain gouvernement qui appliquera les politiques néolibérales inspirées par Bruxelles et son mandataire, l’oligarchie financière, soit aux yeux de tous illégitime. Convenez-en cher lecteur, il ne s’agit là que du minimum syndical en matière de dignité.
De tout cela, il ressort avec clarté que les prostituées sont plus dignes que les électeurs. Car les prostituées pour se faire baiser demandent de l’argent, tandis que l’électeur, satisfait de lui-même, ne demande rien, le fait gratuitement, le sourire aux lèvres, avec le sentiment d’avoir agi en citoyen (traduction : en cocu).
Conclusion : compte tenu de ce que la classe politique française fait à son peuple depuis la chute de De Gaulle, il serait plus juste de parler non d’abstention mais d’abstinence.
Comme le disait le Christ, entende qui a des oreilles pour entendre. Amen !
Source
Eveil2011 via Adrien Abauzit, pour Mecanopolis
Adrien Abauzit est l’auteur du livre « Né en 1984 »
Perso, je ne participerais plus jamais à cette farce, cette mascarade, ce théâtre où l'électeur (et non le citoyen) n'a pour seul pouvoir que de déléguer tous ses pouvoirs à une caste scélérate de mafieux qui vont s'empresser de programmer notre impuissance totale et de voter des lois pour ce maintenir au pouvoir tout en ce votant l'impunité totale et l'immunité absolue.
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