Et une alerte de plus une !…On aimerait bien qu’au lieu de
pondre des alertes, ces mêmes alertes soient prises en compte par les
gouvernements et les décideurs. Nous allons droit dans
le mur, ce n’est pas faute de le rabâcher, et s’il y a des mesures à
prendre pour sauver ce qui peut encore l’être, il n’y a pas à hésiter.
Avec cette crise mondiale qui nous affecte tous, les gouvernements vont
agir pour nous imposer des restrictions, et augmenter les impôts, s’ils
peuvent le faire pour (tenter) de rembourser les dettes fabriquées par
et pour les vampires de la finance, ils doivent aussi pouvoir agir pour
mettre un terme à ce massacre de la Terre, puisque l’humain lambda n’y
parvient pas. A moins qu’ils aient un gros intérêt à ne pas le
faire…Incroyable qu’au niveau où nous sommes, nous soyons sans conscience, et encore plus pauvres moralement…
Alors que nous sommes à la croisée des chemins pour l’avenir de l’humanité, Matthew Stain, chercheur au MIT, a déterminé les 6 dangers majeurs qui peuvent mettre fin à notre civilisation…
1. Le changement climatique et le risque d’emballement du
réchauffement à cause des effets en chaine. A partir d’un certain seuil,
qui est celui auquel nous commençons à nous trouver, l’augmentation des
températures provoque le dégel du sol des toundras, en permanence gelé
jusqu’ici. Les grandes quantités de méthane emprisonné dans ce sol est
alors libéré dans l’atmosphère, or le méthane a un effet de serre 10
fois plus puissant que celui du CO2. De même le réchauffement des océans
risque de provoquer la fonte des hydrates de méthane présents au fond
des océans.
2. La fin du pétrole. Notr
e économie et tout notre mode de vie
moderne ont été possibles « grâce » au pétrole, présent dans la plupart
des objets que nous consommons et sur lequel sont basés presque tous nos
moyens de transport. Le pétrole est aussi présent indirectement dans ce
que nous mangeons. Il compose la plupart des engrais agricoles, des
embalages, et il est aussi le carburant indispensable aux machines
agricoles et au transport vers les lieux de distribution. C’est le
pétrole qui a permis de multiplier par 5 les rendements agricoles depuis
le milieu du 20è siècle. Sans le pétrole, il sera impossible de nourrir
les 7 et bientôt 10 milliards d’habitants de la planète.
3. L’effondrement de la vie dans les océans. Dans 11 des 15 plus
grandes zones de pêche au monde, les ressources sont en voie
d’épuisement. Plus grave encore : du fait de la pollution et de
l’acidification des océans, le plancton est en train de disparaître, or
il est à la base de la chaine alimentaire pour toute la vie marine.
4. La déforestation. Plus de 50% des forêts dans le monde ont déjà
disparu, et sous la « pression économique », la déforestation
s’accélère. Celle-ci est par ailleurs responsable de 25% des émissions
de gaz à effet de serre. Les forêts sont également indispensables à
l’équilibre climatique et à la préservation des ressources en eau.
5. La crise alimentaire mondiale. Pour la première fois depuis que la
révolution agricole a commencé, la production de nourriture est en
baisse chaque année alors que la population continue d’augmenter. Cette
baisse est causée par l’extension des zones urbanisées au détriment des
surfaces cultivées, et à la baisse des rendements agricoles du fait
d’une utilisation excessive des pesticides et des engrais chimiques qui
ont stérilisé les sols, éliminant les nombreux micro-organismes qu’ils
abritaient et qui sont indispensables à la croissance des plantes. Les
agriculteurs compensent la baisse des rendements en utilisant toujours
plus d’engrais, mais cette fuite en avant ne pourra pas durer
éternellement, d’autant plus que le pétrole va se raréfier.
6. La surpopulation. Nous sommes actuellement aussi nombreux que tous
les humains qui nous ont précédé sur Terre depuis que l’humanité
existe.
Jusqu’en l’an 1000, la population mondiale était d’environ 500 millions
d’habitants. Au début du 19è siècle, elle a atteint un milliard. En 1930
elle atteignait 2 milliards. Aujourd’hui, moins d’un siècle plus tard,
nous sommes 7 milliards.
La surpopulation amplifie la pollution et la destruction de
l’environnement, elle accélère également l’épuisement des ressources non
renouvelables et de celles dont le renouvellement est plus lent que le
rythme auquel nous les consommons.
Auteur : Matthew Stain
Source :
Moutons enragés via www.arbredespossibles.com via TerreSacrée
Bonne article qui résume les menaces qui guettent chacun de nous sauf
pour le final qui termine par la surpopulation et la désignant comme étant l'ultime coupable, la plus grande des menaces puisqu'elle influe de manière exponentielle sur les autres menaces. Le hic est qu'on peut très vite faire des raccourci et avoir des
pensée malthusiennes ou eugénistes avec ce genre de conclusion.
Pour moi, il n’y a pas de surpopulation (le monde entier peut nourrir
aisément 12 milliard d’âmes), il y a juste un trop plein de personne à
la nature inhumaine, à l’esprit tordu et morbide, aux comportements
immoraux, amoraux et mortifères qui ont déclarés la guerre à l’humanité.
Ce sont les financiers et politiques mondiaux apatrides,
internationalistes et mondialistes qu’il faut éradiquer de la surface de
la Terre et les envoyer coloniser le soleil de nuit de préférence.
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